Du point de vue sanitaire, consommé avec modération, le vin reste « la plus saine et la plus hygiénique des boissons », parce que les acides organiques (tartrique, citrique…) aident et participent au processus de digestion, « rincent » la bouche de la persistance du goût de certains aliments et permettent de faire place nette aux mets à venir.
Les tanins sont quant à eux de parfaits anti oxydants et la peau du raisin contient en quantité remarquable la célèbre molécule anti vieillissement le resvératrol, que l’on retrouve à prix d’or dans de nombreux produits de beauté.
L'alcool, un conservateur naturel, qui donne le relief nécessaire aux vins qui consommés avec
modération mettent le coeur en joie.
Ils proviennent du métabolisme du raisin au cours de la maturation, et sont caractéristiques d’un cépage ou d’une famille de cépage. Ils donnent la typicité au vin. Ces arômes peuvent être présents dans le fruit à l’état odorant et participent alors à la palette aromatique du vin sans transformation préalable. Ils peuvent également être présents sous forme inodore appelée «précurseurs d’arômes». Le pouvoir odorant de ces précurseurs sera révélé au cours de l’élaboration du vin. Voici quelques exemples d’arômes variétaux :